Carlos Ferreira, propriétaire du Café Ferreira, en compagnie de Louis-François Marcotte.
Plusieurs propriétaires de la rue Peel s’impatientent devant les chantiers qui ne finissent plus et qui chassent les clients.
«Ce n’est pas catastrophique, mais ça affecte notre commerce, a confié Carlos Ferreira du Café Ferreira au Journal Métro. il faudrait que ça se fasse comme dans n’importe quelle ville dans le monde, à une vitesse accélérée. Même si ce n’est pas 24 heures par jour, il faudrait au moins qu’ils travaillent du lever au coucher du soleil, 7 jours par semaine.»
Même son de cloche chez Alexandre, qui peut finalement malgré tout conserver sa terrasse après un litige de longue haleine avec l’arrondissement Ville-Marie.
En effet, même si les restaurants sont encore accessibles, ils sont cachés derrière les travaux. On ne peut y entrer qu’à travers des passerelles en bois.
Du côté de la Ville de Montréal, on affirme que certains travaux pourront être fait les soirs et les fins de semaines. Ceux-ci seront par contre limités en raison de l’hôtel à proximité. D’après eux, les travaux affecteraient alors encore plus les commerçants.
Les travaux sur la rue Peel entre Sainte-Catherine et Maisonneuve devrait arrêter d’ici la fin mai et reprendre après le Grand-Prix, à la mi-juin, jusqu’en décembre.
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